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L'ASN considĂšre que le choix actuellement retenu par les grands exploitants français d'un dĂ©mantĂšlement immĂ©diat est satisfaisant, dans la mesure oĂč celui-ci permet, entre autres, de ne pas en faire porter la responsabilitĂ© sur les gĂ©nĂ©rations futures. L'ASN estime en effet que le maintien dans un Ă©tat de sĂ»retĂ© satisfaisant des installations Ă l'arrĂȘt dans l'attente d'un dĂ©mantĂšlement diffĂ©rĂ© conduit Ă des dĂ©penses importantes de surveillance, de maintien en Ă©tat et Ă©ventuellement de jouvence, ainsi qu'Ă des difficultĂ©s de motivation des effectifs prĂ©sents et de perte de mĂ©moire de l'historique de l'exploitation. La stratĂ©gie d'un dĂ©mantĂšlement immĂ©diat est Ă©galement conforme aux recommandations de l'Agence internationale de l'Ă©nergie sur les stratĂ©gies d'EDF, du CEA et d'OranoLâASN instruit rĂ©guliĂšrement la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets radioactifs des grands » exploitants nuclĂ©airesEn plus du contrĂŽle quâelle rĂ©alise sur chaque installation, lâASN demande aux exploitants nuclĂ©aires les plus importants Orano, CEA, EDF dâexposer leur stratĂ©gie globale de dĂ©mantĂšlement et de gestion de leurs dĂ©chets radioactifs pour lâensemble de leurs installations. Ces stratĂ©gies sont mises Ă jour rĂ©guliĂšrement et instruites par lâASN. Cela permet Ă lâASN dâavoir une vision globale et prospective Ă plus de 10 ans des stratĂ©gies des exploitants, de sâassurer de la cohĂ©rence de ces stratĂ©gies et de lâanticipation par les exploitants des actions Ă mener pour les rĂ©aliser dans les meilleures conditions. Cette vision est indispensable afin notamment dâanticiper les besoins de crĂ©ation dâinstallations dâentreposage de dĂ©chets radioactifs ex ICEDA, de dĂ©veloppement de nouveaux types de conditionnement ou de conteneurs de transports, ou encore les moyens Ă prĂ©voir pour la rĂ©alisation des des retards sur le programme de dĂ©mantĂšlement de la 1Ăšre gĂ©nĂ©ration de centrales nuclĂ©aires La stratĂ©gie initiale d'EDF pour le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs nuclĂ©aires de premiĂšre gĂ©nĂ©ration, mise en Ćuvre depuis les annĂ©es 1980, consistait Ă rĂ©aliser le dĂ©mantĂšlement des installations hors bĂątiment du rĂ©acteur rapidement aprĂšs l'arrĂȘt de la centrale en pratique, dans un dĂ©lai de 5 Ă 10 ans et Ă diffĂ©rer le dĂ©mantĂšlement du bĂątiment du rĂ©acteur conduisant Ă la libĂ©ration totale et inconditionnelle du site pendant une durĂ©e de 25 Ă 50 ans aprĂšs l'arrĂȘt de la dĂ©mantĂšlement complet des installations Ă©tait alors envisagĂ© par EDF aprĂšs plusieurs dizaines d'annĂ©es de confinement afin de pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la dĂ©croissance naturelle de la avait Ă©mis des doutes quant Ă la capacitĂ© d'EDF Ă dĂ©montrer la tenue mĂ©canique des installations et plus particuliĂšrement les structures de gĂ©nie civil, pendant cette durĂ©e. En avril 2001, EDF a informĂ© l'ASN d'une profonde modification de sa stratĂ©gie quant au dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration en retenant dĂ©sormais un programme de dĂ©mantĂšlement complet et immĂ©diat sur 25 ans, sans pĂ©riode d'attente Ă l'horizon 2025. EDF a programmĂ© en prioritĂ© le dĂ©mantĂšlement, dans un premier temps, des silos de Saint-Laurent-des-Eaux, de l'installation EL4-D sur le site des Monts d'ArrĂ©e, de SuperphĂ©nix, de Chooz A et de Bugey 1, et, dans un second temps, le dĂ©mantĂšlement des 5 rĂ©acteurs de la filiĂšre UNGG Uranium Naturel Graphite Gaz de Chinon A et Saint-Laurent-des-Eaux stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement dâEDF remise en avril 2001, qui prĂ©sentait un programme permettant dâengager le dĂ©mantĂšlement des centrales de premiĂšre gĂ©nĂ©ration dont lâachĂšvement Ă©tait prĂ©vu Ă lâhorizon 2036, a fait lâobjet dâun examen par le Groupe permanent dâexperts GPE compĂ©tent en mars 2004. Sur la base de cet examen, lâASN a conclu en 2004 lettre DGSNR/SD3/n°0459-2004 du 28 juin 2004 que la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration retenue par EDF ainsi que le programme et lâĂ©chĂ©ancier Ă©taient acceptables du point de vue de la sĂ»retĂ© et de la radioprotection sous rĂ©serve de la prise en compte dâun certain nombre de demandes et du respect des engagements pris par EDF sur les questions de faisabilitĂ© du dĂ©mantĂšlement, de sĂ»retĂ©, de radioprotection, de gestion des dĂ©chets et des a transmis, en juillet 2009, une mise Ă jour de sa stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement. Le dossier comprend un point sur lâavancement du programme de dĂ©construction et prĂ©sente les grands jalons Ă venir. LâĂ©tat des rĂ©flexions sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement du parc en exploitation actuel est a considĂ©rĂ© que la stratĂ©gie Ă©tait globalement convenable dans ses principes mais nĂ©cessitait certains complĂ©ments, notamment concernant les solutions alternatives pour la gestion des dĂ©chets de graphite. LâASN a en particulier insistĂ© sur lâimportance de ne pas conditionner le dĂ©mantĂšlement des caissons des rĂ©acteurs UNGG Ă la mise en service du centre de stockage des dĂ©chets de type faible activitĂ© Ă vie longue et dâenvisager la possibilitĂ© dâentreposages demandĂ© par lâASN Courrier CODEP-DRC-2012-002702, EDF a transmis une mise Ă jour de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement de ses rĂ©acteurs en octobre 2013. LâASN avait demandĂ© au prĂ©alable Ă EDF dâinclure dans ce dossier une Ă©tude des solutions alternatives pour la gestion des dĂ©chets de graphite afin de ne pas conditionner davantage le dĂ©mantĂšlement des caissons des rĂ©acteurs UNGG Ă la mise en service du centre de stockage des dĂ©chets de type faible activitĂ© Ă vie longue FA-VL. En effet, elle note que, dans le cadre du dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de type UNGG, la question de lâexutoire pour les dĂ©chets de graphite est une difficultĂ© pour la bonne mise en Ćuvre de cette stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement immĂ©diat. Le collĂšge de lâASN a auditionnĂ© EDF sur cette question le 9 dĂ©cembre dossier a fait l'objet d'un examen par le groupe permanent dâexperts en juin 29 mars 2016, l'ASN a auditionnĂ© EDF qui a prĂ©sentĂ© une nouvelle stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de type UNGG ». Cette nouvelle stratĂ©gie conduit Ă dĂ©caler de plusieurs dĂ©cennies le dĂ©mantĂšlement de certains rĂ©acteurs au regard de la stratĂ©gie affichĂ©e par EDF en 2001 et mise Ă jour en a adressĂ© en juillet 2016 Ă EDF un courrier de demandes complĂ©mentaires afin notamment de vĂ©rifier lâacceptabilitĂ© de la nouvelle stratĂ©gie au regard des exigences lĂ©gislatives relatives au dĂ©mantĂšlement dans un dĂ©lai aussi court que possible ».EDF a transmis ces Ă©lĂ©ments en 2017. LâASN les a instruits et envisage dâencadrer le dĂ©mantĂšlement des UNGG par dĂ©cision. Le projet de dĂ©cision impose Ă EDF de rĂ©aliser les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement qui peuvent dâores et dĂ©jĂ lâĂȘtre et de dĂ©poser, au plus tard en 2022, les dossiers de modification de dĂ©mantĂšlement qui sâimposent. Il prĂ©cise le contenu des scĂ©narios qui devront ĂȘtre Ă©tudiĂ©s dans ces dossiers. En savoir plus Consulter la note d'information sur l'audition d'EDF sur les projets de dĂ©cision visant Ă encadrer le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration de type uranium naturel graphite-gazConsulter la note d'information publiĂ©e le 2 juin 2016 aprĂšs audition d'EDF sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG"Consulter le courrier adressĂ© par l'ASN en juillet 2016, prĂ©cisant ses exigences sur le changement de stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG" par EDFConsulter la note dâinformation sur le projet de dĂ©cision encadrant le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs UNGG dâEDFConsulter la note d'information sur l'audition d'EDF sur le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG" consĂ©cutive Ă l'audition du 30 juin 2017La stratĂ©gie du CEA lâASN constate des difficultĂ©s du CEA dans la mise en Ćuvre de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement immĂ©diat et complet A la demande de l'ASN, le CEA a transmis en 2004 un plan de dĂ©mantĂšlement Ă 10 ans de ses installations. Ce plan concerne des installations de nature variĂ©e laboratoires, usines pilotes, rĂ©acteurs expĂ©rimentaux, installations de traitement d'effluents et dĂ©chets rĂ©parties sur l'ensemble des sites. Ce dossier a Ă©tĂ© soumis aux groupes permanents d'experts compĂ©tents en dĂ©cembre 2006. L'ASN avait considĂ©rĂ© que la stratĂ©gie retenue par le CEA, soutenue par la mise en place d'un fonds dĂ©diĂ© Ă©tait globalement satisfaisante du point de vue de la tenu des retards rĂ©currents et du report de plusieurs Ă©chĂ©ances dans les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement sur certaines installations, le CEA a transmis en 2011, sur demande de lâASN, un rapport dâĂ©tape prĂ©sentant la mise Ă jour de cette stratĂ©gie,justifiant les Ă©chĂ©ances retenues et prĂ©cisant les raisons, de nature technique ou non, Ă lâorigine des retards constatĂ©s. En rĂ©ponse, lâASN a rappelĂ© en novembre 2011 sa position concernant la prioritĂ© donnĂ©e au dĂ©mantĂšlement immĂ©diat, les niveaux dâassainissement Ă atteindre, le recours aux servitudes dâutilitĂ© publique et a rappelĂ© les objectifs calendaires associĂ©s Ă certaines opĂ©rations de CEA nâayant pas transmis de mise Ă jour de sa stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement, lâASN a demandĂ© au CEA en juillet 2015, avec lâASND, quâune mise Ă jour de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets du CEA lui soit transmise en 2016. Le CEA a transmis, en dĂ©cembre 2016, le rĂ©sultat de ces travaux. Compte tenu du nombre et de la complexitĂ© des opĂ©rations Ă rĂ©aliser pour lâensemble des installations nuclĂ©aires concernĂ©es, le CEA a dĂ©fini des prioritĂ©s, reposant principalement sur lâanalyse des potentiels de danger, afin de diminuer les risques prĂ©sentĂ©s par ces installations. LâASN et lâASND estiment quâil apparaĂźt acceptable, compte tenu des moyens allouĂ©s par lâĂtat, et du nombre important dâinstallations en dĂ©mantĂšlement, pour lesquelles des capacitĂ©s de reprise de dĂ©chets anciens, ainsi que dâentreposage, devront ĂȘtre construites, que le CEA envisage un Ă©chelonnement des opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement. Cet Ă©chelonnement permet de limiter le coĂ»t annuel des opĂ©rations, mais, compte tenu des actions nĂ©cessaires pour surveiller et maintenir dans un Ă©tat de sĂ»retĂ© suffisant les installations les moins prioritaires, augmente le coĂ»t au vu des calendriers prĂ©visionnels prĂ©sentĂ©s, mĂȘme en lâabsence dâalĂ©as et de retards sur les projets, la rĂ©duction des risques ne sera pas effective avant, au mieux, une dizaine dâannĂ©es. En effet, de nombreux projets de RCD, classĂ©s prioritaires, nĂ©cessitent la crĂ©ation ou la rĂ©novation prĂ©alable de moyens de reprise, de conditionnement et dâentreposage des matiĂšres et des dĂ©chets radioactifs, ainsi que de transport associĂ©s. Aussi, malgrĂ© lâorganisation pertinente mise en place par le CEA rĂ©cemment pour gĂ©rer son programme de dĂ©mantĂšlement dans la durĂ©e, lâASN et lâASND sâinterrogent sur la robustesse du plan dâaction du CEA et les moyens disponibles, tant humains que financiers, pour traiter au plus tĂŽt lâensemble des situations prĂ©sentant les enjeux de sĂ»retĂ© ou les nuisances pour lâenvironnement les plus importants. Les deux autoritĂ©s constatent plusieurs fragilitĂ©s dans la stratĂ©gie du CEA, du fait notamment de la mutualisation entre centres envisagĂ©e par exemple pour la gestion des effluents radioactifs aqueux ou des dĂ©chets radioactifs solides, conduisant Ă ne disposer, pour certaines opĂ©rations, que dâune seule installation. Cette stratĂ©gie induit, dâune part, une forte augmentation du nombre de transports et, dâautre part, de fortes incertitudes relatives Ă la disponibilitĂ© des installations de traitement, de conditionnement et dâentreposage des matiĂšres et dĂ©chets radioactifs, ainsi que des emballages de transport. Les deux autoritĂ©s notent aussi des incertitudes relatives Ă la gestion des combustibles usĂ©s ou des matiĂšres irradiĂ©es, qui devra ĂȘtre et lâASND ont donc fait plusieurs demandes au CEA visant Ă limiter ces fragilitĂ©s, Ă consolider sa stratĂ©gie et Ă prĂ©ciser le calendrier de rĂ©alisation. Elles demandent que le CEA rende compte rĂ©guliĂšrement de lâavancement des projets de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets, et quâune communication rĂ©guliĂšre vis-Ă -vis du public soit rĂ©alisĂ©e, suivant les modalitĂ©s appropriĂ©es Ă la nature des installations, civiles ou de dĂ©fense. Elles souhaitent, enfin, que soient mises en Ćuvre des dispositions de contrĂŽle particuliĂšres quant Ă lâavancement de ces projets. En savoir plus Consulter la note d'information sur la prise de position conjointe de lâASN et lâASND sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des matiĂšres et dĂ©chets du CEALa stratĂ©gie du groupe Orano ex AREVA NCPour ce qui concerne Orano ex AREVA NC, la stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets de lâĂ©tablissement de La Hague a fait lâobjet dâun examen par le groupe permanent dâexperts rĂ©uni par lâASN en 2005. En janvier 2006, par courrier Lettre DGSNR/SD3/0036/2006 du 11 janvier 2006, lâASN a fait part de sa position sur cette stratĂ©gie. La stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets sur le pĂ©rimĂštre de lâINBS AREVA NC du Tricastin a Ă©galement fait lâobjet dâun examen en 2012 par la commission de sĂ»retĂ© pour les laboratoires, usines et dĂ©chets. En dĂ©cembre 2012, lâASND a fait part Ă AREVA NC de sa position sur cette la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des installations du site de La Hague, elle a fait lâobjet dâun examen par lâASN le GP en 2011 Ă lâoccasion de lâinstruction des dossiers de demande dâautorisation de mise Ă lâarrĂȘt dĂ©finitif et de dĂ©mantĂšlement MAD DEM des anciennes usines de La Hague. Cette instruction a conduit Ă la publication en novembre 2013 de trois dĂ©crets dâautorisation de MAD dĂ©mantĂšlement dâinstallations anciennes constitue un enjeu majeur pour Orano qui doit mener, Ă court, moyen et long termes, plusieurs projets de dĂ©mantĂšlement de grande envergure usine UP2-400 de La Hague, usine Eurodif Production, installations de lâINBS de Pierrelatte,âŠ. La mise en Ćuvre de ces projets est Ă©troitement liĂ©e Ă la stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets compte tenu de la quantitĂ© et du caractĂšre non standard et difficilement caractĂ©risable des dĂ©chets gĂ©nĂ©rĂ©s lors des opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement. De plus, les opĂ©rations de prĂ©paration Ă la mise Ă lâarrĂȘt dĂ©finitif nĂ©cessitent lâĂ©vacuation des dĂ©chets de fonctionnement prĂ©sents dans lâinstallation. Dans certains cas, par exemple pour des installations anciennes dâentreposage de dĂ©chets exploitĂ©es sur le site de La Hague, des opĂ©rations de reprise et de conditionnement des dĂ©chets anciens RCD doivent ĂȘtre lâASN et lâASND ont dĂ©cidĂ© dâexaminer Ă lâĂ©chelle nationale les orientations stratĂ©giques envisagĂ©es par Orano pour la gestion de lâensemble de ses dĂ©chets et pour le dĂ©mantĂšlement de ses installations. Ces stratĂ©gies doivent ĂȘtre cohĂ©rentes avec les orientations nationales du Plan national de gestion des matiĂšres et dĂ©chets radioactifs, les dispositions de lâarrĂȘtĂ© du 7 fĂ©vrier 2012, les codes de lâenvironnement, de la dĂ©fense, de la santĂ© publique et du travail et les diffĂ©rentes stratĂ©gies dâexploitation de lâensemble des installations du groupe Orano. Ces stratĂ©gies sâappliquent tant aux installations civiles quâaux installations secrĂštes exploitĂ©es par le Groupe. Elles ont Ă©tĂ© transmises par Orano en juin 2016. LâASN estime quâOrano doit renforcer sa capacitĂ© Ă prioriser les opĂ©rations en fonction des enjeux des installations Ă dĂ©manteler. Les moyens humains et techniques dâOrano doivent ĂȘtre renforcĂ©s pour respecter les Ă©chĂ©ances de ces projets. LâASN et lâASND ont mobilisĂ© une expertise importante pour lâinstruction de cette stratĂ©gie et prendront position en 2019 sur ce sur l'historique des stratĂ©gies de dĂ©mantĂšlement en FranceDĂ©but des annĂ©es 1960 premiĂšres opĂ©rations d'assainissement et de dĂ©mantĂšlement d'installations nuclĂ©airesAnnĂ©es 1960-1970 dĂ©mantĂšlement de quelques laboratoires de recherche, rĂ©acteurs expĂ©rimentaux et installations du cycle du combustibleA partir du milieu des annĂ©es 1980 plusieurs rĂ©acteurs de puissance sont partiellement dĂ©mantelĂ©s ou ont entamĂ© des travaux de dĂ©mantĂšlement completAnnĂ©es 1980-1990 dĂ©mantĂšlement ponctuel de certaines installations principalement de rechercheA partir de la fin des annĂ©es 1990 les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement entrent dans une phase industrielle, employant des technologies et des mĂ©thodologies Ă©prouvĂ©es sur de plus grandes Ă©chellesA partir de 1997 changements importants de stratĂ©gie chez les grands exploitants nuclĂ©aires français2006 lois TSN et dĂ©chets » mettant en Ćuvre un mĂ©canisme de provisionnement des charges de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets. Consulter la loi dĂ©chets »2015 loi relative Ă la transition Ă©nergĂ©tique pour la croissance verte qui inscrit dans la loi le principe du dĂ©mantĂšlement immĂ©diat
PrĂ©sentation Ce paragraphe propose un modĂšle dâorganisation adaptĂ©e aux prestataires de services rĂ©alisant une surveillance vibratoire pour le compte de diffĂ©rents clients industriels ; Ă un service mĂ©thodes » intervenant pour le compte de diffĂ©rentes unitĂ©s de production ou diffĂ©rents sites dâune mĂȘme entitĂ© industrielle. Les directives prĂ©sentĂ©es ci-aprĂšs ont Ă©tĂ© appliquĂ©es avec succĂšs au sein dâun prestataire de services dans le courant de lâannĂ©e 1999. On trouvera en la liste des moyens nĂ©cessaires Ă une telle organisation. PrĂ©paration des campagnes de relevĂ©s La qualitĂ© de la surveillance vibratoire dâune machine est entiĂšrement conditionnĂ©e par le soin apportĂ© Ă la prĂ©paration des campagnes de relevĂ©s. HAUT DE PAGE Ălaboration des itinĂ©raires de surveillance Avant de se lancer dans le relevĂ© des mesures vibratoires sur une machine, il est nĂ©cessaire de respecter toutes les Ă©tapes suivantes afin de prĂ©parer correctement les itinĂ©raires. But de la surveillance Ă mettre en Ćuvre Il sâagit de cerner les besoins auxquels doit rĂ©pondre lâanalyse vibratoire. Pour cela, on doit faire un bilan sur le classement VIS ; les objectifs limiter le nombre dâarrĂȘts sur casse objectif minimaliste, passer dâune politique de maintenance systĂ©matique Ă une politique de maintenance conditionnelle, accroĂźtre le taux de disponibilitĂ© des machines objectif ambitieux mais rĂ©alisable ; lâaspect financier coĂ»t dâune surveillance par rapport au coĂ»t global et aux consĂ©quences dâune panne. En fonction de tous ces paramĂštres, on sâorientera vers une surveillance par niveaux globaux ou spectrale sur un nombre plus ou moins important de points de mesures. On sâattachera toujours Ă bien dĂ©finir le but de la surveillance mise en place et la frĂ©quence... BIBLIOGRAPHIE 1 - BRUĂL, KJAER - Initiation aux mesures de vibration - . 2 - PACHAUD C., BOULENGER A. - Surveillance et diagnostic par analyse de vibrations. - AIF 1997. 3 - BIGRET R. - Vibrations des machines tournantes et des structures - 4 volumes. Technique et Documentation 1980. ANNEXES 1 Logiciels 2 Normalisation International Organization for Standardization ISO Association française de Normalisation AFNOR 3 Annexe 1. Rappels mathĂ©matiques Vibrations quantification, vocabulaire Signal pĂ©riodique et transformĂ©e de Fourier aspects pratiques DĂ©cibels, niveaux de rĂ©fĂ©rence, alerte et danger 2. Moyens dâĂ©tude nĂ©cessaires 3. Ăvolution dâun niveau global 4. FrĂ©quences caractĂ©ristiques des dĂ©fauts de roulement 5. Niveaux globaux spĂ©cifiques aux roulements 6. ItinĂ©raire 7. Rapport technique du logiciel dâanalyse 8. Fiches de travail Liste Type de machine » Fiche FrĂ©quences de dĂ©fauts » Fiche DĂ©finition de machine » Dossier Surveillance vibratoire - DĂ©finition » Dossier dâintervention Fiche... DĂTAIL DE L'ABONNEMENT TOUS LES ARTICLES DE VOTRE RESSOURCE DOCUMENTAIRE AccĂšs aux Articles et leurs mises Ă jour NouveautĂ©s Archives Articles interactifs Formats HTML illimitĂ© Versions PDF Site responsive mobile Info parution Toutes les nouveautĂ©s de vos ressources documentaires par email DES ARTICLES INTERACTIFS Articles enrichis de quiz ExpĂ©rience de lecture amĂ©liorĂ©e Quiz attractifs, stimulants et variĂ©s ComprĂ©hension et ancrage mĂ©moriel assurĂ©s DES SERVICES ET OUTILS PRATIQUES Votre site est 100% responsive, compatible PC, mobiles et tablettes. FORMULES Formule monoposte Autres formules Ressources documentaires Consultation HTML des articles IllimitĂ©e IllimitĂ©e Quiz d'entraĂźnement IllimitĂ©s IllimitĂ©s TĂ©lĂ©chargement des versions PDF 5 / jour Selon devis AccĂšs aux archives Oui Oui Info parution Oui Oui Services inclus Questions aux experts 1 4 / an Jusqu'Ă 12 par an Articles DĂ©couverte 5 / an Jusqu'Ă 7 par an Dictionnaire technique multilingue Oui Oui 1 Non disponible pour les lycĂ©es, les Ă©tablissements dâenseignement supĂ©rieur et autres organismes de formation. Formule 12 mois monoposte 2 185 ⏠HT Autres formules Multiposte, pluriannuelle DEMANDER UN DEVIS
Brefhistorique des progrĂšs de ces techniques . Depuis les annĂ©es 1970, le dĂ©veloppement des capacitĂ©s dâanalyse des diverses techniques de spectromĂ©trie X a principalement Ă©tĂ© favorisĂ© par deux facteurs : la modernisation des instruments Ă rayons X, notamment des sources, dĂ©tecteurs et dispositifs de focalisation, et la nĂ©cessitĂ© dâune caractĂ©risation plus intĂ©grĂ©e de
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