Cette histoire est tirée du volume 1 des Histoires vraies du dedans dans le cadre des ateliers menés en 2015-2016 dans les centres pénitentiaires des Baumettes à Marseille et Toulon-La Farlède, le centre de détention de Tarascon et à la Valentine, dans l’établissement pénitentiaire pour mineurs. [Axinte feuillette un recueil de poèmes d’Eminescu] Comment dire, c’est une histoire d’amour écrite par le plus grand poète de Roumanie, c’est une des poésies les plus célèbres. Il est question… Je sais pas… Une histoire d’amour, je m’en souviens même plus… Je l’ai apprise à l’école… Bon, je le lis. Le poète Mihai Eminescu 1850-1889. A fost ca niciodată Il était une fois, jadis, Jadis, il y a longtemps, Une fille des rois, des plus grands rois, Une fille comme le printemps. Elle était seule avec ses parents Et belle parmi les belles, Comme la Vierge parmi les saints, La Lune sur le ciel. Dans l’ombre imposante des voûtes Elle marche lentement Vers la fenêtre où, toujours, Hypérion attend. Elle regarde comme il brille Dans les hauteurs lointaines Sur les chemins toujours mouvants Des vaisseaux noirs il mène. Aujourd’hui vu, demain revu – Et le désir se lie ; Hypérion aussi, il tombe Amoureux de la fille. La tête aux mains, elle rêve et rêve, Et agrandit sa peine… Ainsi, rêvant toujours, de lui Sa tête, son âme sont pleines Luceafărul, poème de Mihai Eminescu, dans Poezii. Ed. Cartex, 1970, traduction Georges Pruteanu. En fait, c’est de ça qu’il est question, que Luceafărul, l’étoile du matin se transforme en… en prince, et la jeune fille le regarde descendre de la voûte céleste, et un jour il se transforme en prince. Le jeune homme est beau et blond, il ressemble à un beau Voïévode et il y a le début d’un dialogue entre Luceafărul et la jeune fille. Il lui promet beaucoup de belles choses, il lui explique que son père est le ciel et sa mère est la mer, et il lemmènera dans son palais. Oui, mais elle va refuser, elle lui dit qu’elle est vivante et que lui, il est mort. Oui… finalement… elle aimait énormément son étoile Luceafărul. Et pourtant elle était consciente que ce n’est pas possible… que ça ne sera jamais possible avec Luceafărul. Et lui de son côté, il éprouvait les mêmes sentiments. Donc, c’est l’histoire d’un amour impossible… Une très belle histoire. Axinte, Tarascon 2016. Traduit du roumain par Laure Hinckel.
Jecomptais les étoiles Pour dénombrer les hommes Mille étoiles scintillant Dans la nuit de mes ages . Une étoile est mon double La seconde mon amou Les trois autres me sont semblables Ainsi que lesvingt Les quarante mille étoiles Toutes de misère Scintillant dans le ciel. Je m'égarais dans les nues Sous les lueurs d'une étoile 23 poèmes <23456À M. Louis de Ronchaud I Regardez-les passer, ces couples éphémères ! Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment, Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Font le même serment Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent Avec étonnement entendent prononcer, Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent Et qui vont se glacer. Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît Aime et meurs ici-bas ! » La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc, et mourez ! II Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile Quand un charme invincible emporte le désir, Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile A frémi de plaisir. Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; Nous entendons sa voix et le bruit de son aile Jusque dans nos transports. Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie Pâlir au firmament les astres radieux, Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie, Leur lien pour les cieux. Dans le ravissement d'une éternelle étreinte Ils passent entraînés, ces couples amoureux, Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte Un regard autour d'eux. Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; Leur espoir est leur joie et leur appui divin ; Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe Leur pied heurte en chemin. Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire S'ils mouraient tout entiers ? Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l'entrevoir, de s'écrier C'est Elle ! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour. Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour ! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t'émouvoir, Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! » Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Éternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, Vous oubliez soudain la fange maternelle Et vos destins bornés. Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères En face du néant. Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. » La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles Luiront sur vos tombeaux. Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ; La fleur que vous brisez soupire avec ivresse Nous aussi nous aimons ! » Heureux, vous aspirez la grande âme invisible Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; La Nature sourit, mais elle est insensible Que lui font vos bonheurs ? Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor. Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, Et vous laisse la mort. Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus ; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L'Infini dans vos bras ; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l'Humanité future Qui s'agite en vos seins. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains. Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours à votre main mourante Elle échappe déjà. Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; Il aura sillonné votre vie un moment ; En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu ! Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime, Et pardonnez à Dieu ! L’Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1845 votesAlors j'avais quinze ans. Au sein des nuits sans voiles, Je m'arrêtais pour voir voyager les étoiles Et contemplais trembler, à l'horizon lointain, Des flots où leur clarté jouait jusqu'au matin. Un immense besoin de divine harmonie M'entraînait malgré moi vers la sphère infinie, Tant il est vrai qu'ici cet autre astre immortel, L'âme, gravite aussi vers un centre éternel. Mais, tandis que la nuit marchait au fond des cieux, Des pensers me venaient, graves, silencieux, D'avenir large et beau, de grande destinée, D'amour à naître encor, de mission donnée, Vague image, pour moi, pareille aux flots lointains De la brume où nageaient mes regards incertains. — Aujourd'hui tout est su ; la destinée austère N'a plus devant mes yeux d'ombre ni de mystère, Et la vie, avant même un lustre révolu, Garde à peine un feuillet qui n'ait pas été lu. Humble et fragile enfant, cachant en moi ma flamme, J'ai tout interrogé dans les choses de l'âme. L'amour, d'abord. Jamais, le coeur endolori, Je n'ai dit ce beau nom sans en avoir souri. Puis j'ai soudé la gloire, autre rêve enchanté, Dans l'être d'un moment instinct d'éternité ! Mais pour moi sur la terre, où l'âme s'est ternie, Tout s'imprégnait d'un goût d'amertume infinie. Alors, vers le Seigneur me retournant d'effroi, Comme un enfant en pleurs, j'osai crier Prends-moi ! Prends-moi, car j'ai besoin, par delà toute chose, D'un grand et saint espoir où mon coeur se repose, D'une idée où mon âme, à qui l'avenir ment, S'enferme et trouve enfin un terme à son tourment. »Élan mystique Poèmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 211 votes<23456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Monétoile. Assise sur le rebord de ma fenêtre. Je contemple les étoiles. Et je rêve d’en attraper une. Pour partir à l’aventure. Je ne sais pas où j’irais, avec elle, Mais alors je Citation etoile Sélection de 78 citations sur le sujet etoile - Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe etoile issus de livres, discours ou entretiens. Page 1 sur un total de 4 pages. <12345 Citations etoileOn ne m'ôtera pas l'idée qu'il faut avoir un petit coin de sa tête accroché dans les étoiles. No et moi - Delphine de ViganElle va revenir, je l'attends avec des étoiles et des gâteaux, elle en a marre des fleurs, elle en a marre d'être morte, c'est trop long... Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi - Mathias MalzieuMa grand-mère m'a appris très tôt comment cueillir les étoiles la nuit, il suffit de poser une bassine d'eau au milieu de la cour pour les avoir à ses pieds. Le ventre de l'atlantique - Fatou DiomeRegarde les étoiles et apprécie, toi, d'être vivante. L'empire des anges - Bernard WerberOui, la quête de l'inaccessible étoile dépasse largement notre entendement et surprend toujours le pèlerin au détour de son parcours terrestre. il s'appelait pierre, », jean-guy roy, le devoir, 2 octobre 2009, p. a-9 - Jean-Guy RoyIl est des âmes dont le passage ne laisse guère plus de traces qu'une étoile filante dans un ciel d'été. Une exclamation fuse, un filament rase la nuit, et terminé. As-tu envie d'être une comète, Troy ? Ta mort sera la mienne - Fabrice ColinUne étoile brille sur l'instant de notre rencontre ! A comme association, tome 8 le regard brulant des etoiles - Erik L'HommeJe m'étais dit qu'une étoile filante, c'était une étoile qui pouvait être belle mais qui avait peur de briller et s'enfuyait le plus loin possible. Un peu comme moi. La verite sur l'affaire harry quebert - Joël DickerSi tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux, la nuit, de regarder le ciel. Toutes les étoiles sont fleuries. Le petit prince - Antoine de Saint-ExupéryNiezsche parcourut de nouveau ses notes et lut à voix haute Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d'une étoile qui danse. Et nietzsche a pleuré - Irvin D. YalomLes étoiles sont les yeux de l'univers et l'univers nous observe avec curiosité. Le papillon des etoiles - Bernard WerberIl n'est plus le prince Lune ; il est celui des étoiles. Les contes de la nuit - Charles de LeusseBien sûr que c'est possible de vivre comme ça, être les meilleurs amis du monde chacun sur son étoile, puis s'amuser ensemble lorsqu'on sent le souffle de la solitude sur la nuque ? Bien sûr que c'est possible ? Le mec de la tombe d'a cote - Katarina MazettiApparais ! Dans le ciel blanc sous la forme d'une étoile noire ou juste là, sur mon épaule, viens ! Je suis fatigué que tu sois morte, fatigué de me heurter à ce putain de vide, fatigué... Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi - Mathias MalzieuLes branches des arbres semblaient des pythons immobiles. Les lianes s'enroulaient comme des serpents verts. Un souffle de péril et de trahison montait de la terre et tombait des feuillages. Les étoiles étaient grandes ouvertes, ainsi que des fleurs de flamme. La dame à la louve, renée vivien, éd. alphonse lemaire, 1904, trahison de la forêt, p. 93 - la dame à la louve, 1904 - Renée VivienJe me disais qu'une étoile filante c'était une étoile qui pouvait être belle mais qui avait peur de briller et s'enfuyait le plus loin possible. Un peu comme moi. La verite sur l'affaire harry quebert - Joël DickerDans la quiétude de l'écume, où se reflète, Soit beauté, à nouveau, soit vérité, les mêmes Étoiles qui s'accroissent dans le sommeil. Yves bonnefoy et l'europe du xxe siecle édition 2003 - isbn 9782868202420 - Yves BonnefoyManger dans un trois étoiles c'est un genre de trip. Pas trop se préparer sinon, on n'apprécie pas. Faut faire comme si on improvisait. Tiens, j'ai une petite dalle, si j'allais chez Passard, c'est dans le coin. » En cuisine avec alain passard - Christophe BlainCette étoile représentait pour moi le cœur même de la ville, en fait, le cœur même de ma vie. La jeune fille a la perle - Tracy ChevalierA mi-chemin du bras de Persée, un remous capricieux de la gravitation galactique capte dix mille étoiles et les rejette en flot oblique qui décrit une élégante volute à son extrémité. La station d'araminta les chroniques de cadwal, tome1. - Jack VancePage 1 sur un total de 4 pages. <12345 - Eau - Ecologie - Economie - Ecouter - Ecrire - Ecriture - Education - Egalite - Ego - Egoisme - Elegance - Elevation - Elitisme - Embobiner - Emergence - Emotion - Energie - Enfance - Enfant - Enfer - Engager - Ennemi - Ennui - Enseignement - Enseigner - Envie - Environnement - Ephemere - Epouse - Epoux - Epreuve - Eprouver - Equilibre - Erotisme - Erreur - Erudiction - Esclavage - Esclave - Espace - Espece - Esperance - Esperer - Espoir - Esprit - Essentiel - Estime - Etat - Eternel - Eternite - Ethique - Ethologie - Etonnement - Etrange - Etre - Etudier - Europe - Evidence - Evolution - Exces - Excuses - Excuser - Exhibitionnisme - Exil - Existence - Exister - Experience - Expliquer - Exponentiel - Exprimer - Extase Etendez votre recherche Citation etoile Phrases sur etoile Poèmes etoile Proverbes etoile Poeme: Comme Une Étoile Comme Une Étoile Comme une étoile dans le ciel Tu brilles sur cette terre Ta valeur est sans pareille Ta beauté est exemplaire C’est celle Tant d'étoiles dans le ciel Vois comme elles étincelles Selon une légende d'antan Ce sont les âmes des enfants Morts sans avoir eu le temps De seulement devenir grands Ils surveillent toutes les nuits Leurs parents endormis. Auteur inconnu poèmeétoile dans le ciel Tandis qu'aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port, d'un rivage lointain, Brillent sur l'Océan aux rayons du matin. Le vaste monde : un grain de poussière dans In perfect condition. Rêver d'étoile dans la maison est une menace. une étoile scindée. Quelle est belle la vie ! Comme Une ÉtoileComme une étoile dans le cielTu brilles sur cette terreTa valeur est sans pareilleTa beauté est exemplaireC’est celle qui vient du cœurBien plus précieuse que l’orCette beauté intérieureFait de toi un vrai trésorCar ta vie est si précieuseEt le présent un cadeauChaque journée merveilleuseL’aube appelle le renouveauSur le chemin de la vieSe présente le bonheurIl s’offre à toi aujourd’huiEt Il vient réjouir ton cœurIl n’existe sur la terrePersonne qui soit comme toiCrois en toi et puis espèreQue tu feras des exploitsCaresse toujours l’espoirEn des lendemains qui chantentNe cesse jamais de croireQue la vie est bienveillanteUnique es-tu ici-basViens accueillir cet amourAu fond du cœur cette joieDe donner jour après jourTu es né pour être aiméEt pour vivre avec passionMerci à toi d’existerTu es une bénédictionSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Comme Une Étoilecommeu=ne=é=toi=le=dans=le=ciel 8tu=bri=lles=sur=cet=te=ter=re 8ta=va=leur=est=sans=pa=rei=lle 8ta=beau=té=est=exem=plai=re 7cest=cel=le=qui=vient=du=cœur 7bien=plus=pré=cieu=se=que=lor 7cet=te=beau=té=in=té=rieu=re 8fait=de=toi=un=vrai=tré=sor 7car=ta=vie=est=si=pré=cieu=se 8et=le=pré=sent=un=ca=deau 7cha=que=jour=née=mer=veil=leu=se 8laube=ap=pel=le=le=re=nou=veau 8sur=le=che=min=de=la=vie 7se=pré=sen=te=le=bon=heur 7il=sof=fre=à=toi=au=jourd=hui 8et=il=vient=ré=jouir=ton=cœur 7il=nexis=te=sur=la=ter=re 7per=son=ne=qui=soit=com=me=toi 8crois=en=toi=et=puis=es=pè=re 8que=tu=fe=ras=des=ex=ploits 7ca=res=se=tou=jours=les=poir 7en=des=len=de=mains=qui=chantent 7ne=ces=se=ja=mais=de=croi=re 8que=la=vie=est=bien=veillan=te 7uni=que=es=tu=i=ci=bas 7viens=ac=cueil=lir=cet=a=mour 7au=fond=du=cœur=cet=te=joie 7de=don=ner=jour=a=près=jour 7tu=es=né=pour=ê=tre=ai=mé 8et=pour=vi=vre=a=vec=pas=sion 8mer=ci=à=toi=dexis=ter 6tu=es=u=ne=bé=né=dic=tion 8Phonétique Comme Une Étoilekɔmə ynə etwalə dɑ̃ lə sjεlty bʁijə syʁ sεtə teʁəta valœʁ ε sɑ̃ paʁεjəta bote εt- εɡzɑ̃plεʁəsε sεllə ki vjɛ̃ dy kœʁbjɛ̃ plys pʁesjøzə kə lɔʁsεtə bote ɛ̃teʁjəʁəfε də twa œ̃ vʁε tʁezɔʁkaʁ ta vi ε si pʁesjøzəe lə pʁezɑ̃ œ̃ kadoʃakə ʒuʁne mεʁvεjøzəlobə apεllə lə ʁənuvosyʁ lə ʃəmɛ̃ də la visə pʁezɑ̃tə lə bɔnœʁil sɔfʁə a twa oʒuʁdɥie il vjɛ̃ ʁeʒuiʁ tɔ̃ kœʁil nεɡzistə syʁ la teʁəpεʁsɔnə ki swa kɔmə twakʁwaz- ɑ̃ twa e pɥiz- εspεʁəkə ty fəʁa dεz- εksplwakaʁεsə tuʒuʁ lεspwaʁɑ̃ dε lɑ̃dəmɛ̃ ki ʃɑ̃tenə sεsə ʒamε də kʁwaʁəkə la vi ε bjɛ̃vεjɑ̃təynikə ε ty isi bavjɛ̃z- akœjiʁ sεt amuʁo fɔ̃ dy kœʁ sεtə ʒwadə dɔne ʒuʁ apʁε ʒuʁty ε ne puʁ εtʁə εmee puʁ vivʁə avεk pasjɔ̃mεʁsi a twa dεɡzistety ε ynə benediksjɔ̃Syllabes Phonétique Comme Une Étoilekɔməy=nə=e=twa=lə=dɑ̃=lə=sjεl 8ty=bʁi=jə=syʁ=sε=tə=te=ʁə 8ta=va=lœʁ=ε=sɑ̃=pa=ʁε=jə 8ta=bo=te=ε=tεɡ=zɑ̃=plε=ʁə 8sε=sεl=lə=ki=vj=ɛ̃=dy=kœʁ 8bj=ɛ̃=plys=pʁe=sjø=zə=kə=lɔʁ 8sε=tə=bo=te=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə 8fε=də=twa=œ̃=vʁε=tʁe=zɔʁ 7kaʁ=ta=vi=ε=si=pʁe=sjø=zə 8e=lə=pʁe=zɑ̃=œ̃=ka=do 7ʃa=kə=ʒuʁ=ne=mεʁ=vε=jø=zə 8lobə=a=pεl=lə=lə=ʁə=nu=vo 8syʁ=lə=ʃə=mɛ̃=də=la=vi 7sə=pʁe=zɑ̃=tə=lə=bɔ=nœ=ʁə 8il=sɔ=fʁə=a=twa=o=ʒuʁ=dɥi 8e=il=vjɛ̃=ʁe=ʒu=iʁ=tɔ̃=kœʁ 8il=nεɡ=zis=tə=syʁ=la=te=ʁə 8pεʁ=sɔ=nə=ki=swa=kɔ=mə=twa 8kʁwa=zɑ̃=twa=e=pɥi=zεs=pε=ʁə 8kə=ty=fə=ʁa=dε=zεks=plw 7ka=ʁε=sə=tu=ʒuʁ=lεs=pwaʁ 7ɑ̃=dε=lɑ̃=də=mɛ̃=ki=ʃɑ̃=te 8nə=sε=sə=ʒa=mε=də=kʁwa=ʁə 8kə=la=vi=ε=bjɛ̃=vε=jɑ̃=tə 8y=ni=kə=ε=ty=i=si=ba 8vj=ɛ̃=za=kœjiʁ=sεt=a=muʁ 7o=fɔ̃=dy=kœ=ʁə=sε=tə=ʒwa 8də=dɔ=ne=ʒuʁ=a=pʁε=ʒuʁ 7ty=ε=ne=puʁ=ε=tʁə=ε=me 8e=puʁ=vi=vʁə=a=vεk=pa=sjɔ̃ 8mεʁ=si=a=twa=dεɡ=zis=te 7ty=ε=y=nə=be=ne=dik=sjɔ̃ 8 Récompense Commentaires Sur La Poesie12/04/2021 2010AnyaVos poèmes sont toujours si radieux et si positifs que c’est une jole de les lire Merci12/04/2021 2208MémoQue dire d’autre sinon que c’est une fois de plus un joli poème qui est né de votre plume/Merci Véro Poème ExistencePublié le 12/04/2021 1731 L'écrit contient 165 mots qui sont répartis dans 8 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique. Poete Véro Texte des commentateurs . 531 598 223 219 513 352 73 494