Lor blanc y cristallise en un « gĂąteau de se l » de 10 centimĂštres d’épaisseur! Celui-ci est rĂ©coltĂ© avec une sorte de moissonneuse de sel, puis stockĂ© en « camelle « . Rien Ă  voir avec un chameau, c’est le nom de ces dunes de sel, qui atteignent 20 mĂštres de haut! On les aperçoit depuis les remparts d’Aigues-Mortes (une Posez la question autour de vous
 D’oĂč vient le sel ?La plupart des gens pensent qu’il provient uniquement de la mer. RĂ©ponse juste mais incomplĂšte. Si une partie des cristaux de sel – le sel marin – est rĂ©coltĂ©e dans les marais salants, aprĂšs Ă©vaporation de l’eau sous l’effet du soleil et du vent, l’essentiel du sel vient de gisements souterrains, des mers anciennes assĂ©chĂ©es au fil des millĂ©naires et enfouies dans le sous-sol. Il s’agit du sel gemme. Deux techniques sont utilisĂ©es pour le rĂ©cupĂ©rer Ă  plusieurs dizaines de mĂštres sous terre l’extraction par des mineurs au fond de mines sĂšches et la dissolution. AprĂšs injection d’eau pour dissoudre les couches de sel gemme, la saumure eau + sel est remontĂ©e en surface pour Ă©vaporation et production de sel cristallisĂ©. MystĂšres de la gĂ©ologieEn France, il ne reste plus qu’une seule mine de sel souterraine, celle de Varangeville, en Meurthe-et-Moselle. 40 mineurs travaillent dans les 300 kilomĂštres de galeries Ă  160 mĂštres de profondeur. Ici, le sel extrait depuis 1850, a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© par la mer, il y a 230 millions d’annĂ©es
 La plupart des gisements de sel gemme se sont formĂ©s Ă  l’ùre secondaire 250 Ă  200 millions d’annĂ©es, et Ă  l’ùre tertiaire 33 Ă  23 millions d’annĂ©es. Ils sont composĂ©s de couches qui peuvent atteindre jusqu’à 30 mĂštres d’épaisseur. Les principaux gisements français se concentrent sur un axe Rhin-RhĂŽne Alsace, Lorraine, Bresse, DrĂŽme, Provence et le long des PyrĂ©nĂ©es Midi-PyrĂ©nĂ©es et Aquitaine correspondant aux bassins salifĂšres formĂ©s aux temps gĂ©ologiques Trias et OligocĂšne.
Dansles marais salants, le sel rĂ©coltĂ© est stockĂ© sur une surface plane. On admet qu’un tas de sel a toujours la forme d’un cĂŽne de rĂ©volution. 6.1.) a) Pascal souhaite dĂ©terminer la hauteur d’un cĂŽne de sel de 5 mĂštres de diamĂštre. Il possĂšde un bĂąton de 1 mĂštre de longueur. Il effectue des mesures et rĂ©alise les deux schĂ©mas suivants : (les 2 schĂ©mas ne sont pas Ă  l
Typede production : La fleur de sel est recoltée manuellement dans les marais salants. Le sel ainsi récolté est égoutté puis tamisé et enfin conditionné en sac. Ces sacs sont controlés par un détecteur de métaux avant expédition. Conditionnement : Sac de 5 kg; Conditions de stockage : Stocker à une température inférieure ou égale à 25 °C dans un endroit sec. Contactez-nous
Dansles mines de sel, la technique d'exploitation dite « des chambres et des piliers abandonnés » consiste à creuser dans la couche de sel, selon un plan préétabli, de grandes cavités, les chambres, et à laisser en place des piliers de sel, dont la dimension est calculée afin d'éviter les effondrements du toit. Le minerai de sel est abattu, concassé et stocké. Il est ensuite
Lasaison de rĂ©colte s’étale principalement de juin Ă  septembre selon les conditions mĂ©tĂ©o. On rĂ©colte en moyenne par saison 1.3 Ă  1.5 tonnes de gros sel et 30 Ă  40 kg de fleur de sel par Ɠillet. L’hiver est consacrĂ© aux travaux d’entretien et le printemps Ă  la prĂ©paration du marais pour la saison de rĂ©colte.
Lespersonnes qui récoltent le sel des marais salants sont appelées des saliculteurs, sauniers ou paludiers 2, voire marin-salants. Sous l' Ancien Régime, les paludiers étaient ceux qui récoltaient le sel, le terme de sauniers désignant ceux qui le transportent pour le vendre. Principes[ modifier | modifier le code] . 424 136 680 79 90 117 552 389

dans les marais salants le sel récolté est stocké