Jesouhaiterai savoir Ă  quoi correspond le numĂ©ro d'inscription que me demande TSE lors de l'activation du gestionnaire des liscences ? merci. Message Ă©ditĂ© par Pleymo le 01-02-2003 Ă  15:22:32. PublicitĂ© . PostĂ© le 01-02-2003 Ă  14:43:41 . Pleymo. PostĂ© le 01-02-2003 Ă  15:02:17 . SVP . Pleymo. PostĂ© le 01-02-2003 Ă  15:26:45 . Pleymo. PostĂ© le 01-02-2003 Ă  Les catĂ©gories des HuĂźtres Les rĂšgles de dĂ©nomination et de calibrage des huĂźtres creuses ont Ă©tĂ© rĂ©visĂ©es en 2000, la traçabilitĂ© amĂ©liorĂ©e, les calibres regroupĂ©s en 6 catĂ©gories et l’indice de chair augmentĂ© Les fines huĂźtres creuses de parcs d’élevage ostrĂ©icoles français. Elles ont droit Ă  l’appellation fines» si elles ont un indice de qualitĂ© compris entre 6,5 et 10,5. Mode de calcul masse en grammes de la chair Ă©gouttĂ©e de 20 huĂźtres x 100 masse totale en grammes de ces 20 huĂźtres Les spĂ©ciales huĂźtres creuses de mĂȘme provenance. Elles ont droit Ă  l’appellation spĂ©ciales» si elles ont un indice supĂ©rieur Ă  10,5 Les huĂźtres de claires huĂźtres creuses des centres d’élevage ostrĂ©icoles français Elles sont affinĂ©es en claires » bassins creusĂ©s en sol argileux, naturellement impermĂ©ables et de faible profondeur. Le fond peut se recouvrir d’une algue verte qui pĂ©nĂštre dans les huĂźtres et leur donne une belle couleur et un goĂ»t spĂ©cial, un arĂŽme particulier celui du terroir ». Les claires sont sĂ©parĂ©es par des talus alimentĂ©s en eau de mer par un rĂ©seau de chenaux communiquant avec la mer. Parmi les huĂźtres de claires, on distingue deux catĂ©gories Les fines de claires ImmergĂ©es en claires pendant au moins deux Ă  trois semaines selon l’époque de l’annĂ©e, avec une densitĂ© maximale de 1 Ă  3 kg au mĂštre carrĂ© Les spĂ©ciales de claires ImmergĂ©es pendant au moins deux Ă  trois semaines avec une densitĂ© maximale de 1 Ă  3 kg au mĂštre carrĂ©. Les fines de claires et les spĂ©ciales de claires doivent aussi rĂ©pondre aux indices de qualitĂ© des fines et des spĂ©ciales. Une nouvelle variĂ©tĂ© l’huĂźtre triploĂŻde possĂšde trois lots de chromosomes alors que l’huĂźtre est naturellement biploĂŻde deux lots de chromosomes. Cette particularitĂ© est issue du croisement entre une huĂźtre tĂ©traploĂŻde ayant subi un choc thermique agissant sur la fĂ©condation et une huĂźtre biploĂŻde. Ces huĂźtres Ă  l’état de larves sont exclusivement produites en Ă©closerie. StĂ©rile et donc sans laitance, l’huĂźtre triploĂŻde prĂ©sente l’avantage de grossir plus vite et sa texture est constante toute l’annĂ©e. Nos autoritĂ©s de santĂ© ont confirmĂ© l’innocuitĂ© de cette huĂźtre pour le consommateur et l’absence de risques pour l’environnement. Les diffĂ©rentes tailles des huĂźtres Les huĂźtres sont classĂ©es suivant les conventions professionnelles selon leur poids Pour les huĂźtres plates les N° 6 pĂšsent 20 gr les N° 5 30 gr les N° 4 40 gr les N° 3 50 gr les N° 2 60 gr les N° 1 70 g les N° 0 80 gr les N° 00 90 Ă  100 gr les N° 000 100 Ă  120 gr Les huĂźtres creuses sont dĂ©sormais classĂ©es en 6 catĂ©gories N°0 + de 150 gr N° 1 de 111 Ă  150 gr N°2 de 86 Ă  110 gr N° 3 de 66 Ă  85 gr N° 4 de 46 Ă  65 gr N° 5 de 30 Ă  45 gr. Les longues sont dĂ©finies par leur forme et non par leur poids. Tous les colis ou bourriches d’huĂźtres doivent porter l’étiquette de salubritĂ© sur laquelle sont portĂ©s la date de conditionnement ainsi que le nom du producteur. L’étiquette doit Ă©galement comporter la mention ces coquillages doivent ĂȘtre vivants au moment de l’achat » ou une date limite de consommation. L’étiquette doit Ă©galement mentionner l’origine nationale de l’huĂźtre et son mode de production, par exemple huĂźtres Ă©levĂ©es en France ». L’étiquette de salubritĂ© garantit que les huĂźtres ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©es dans des zones non polluĂ©es. En France, les huitres sont sous surveillance Des contrĂŽles de la rĂ©pression des fraudes sont rĂ©guliĂšrement effectuĂ©s auprĂšs des expĂ©diteurs, en amont et en aval, auprĂšs de la grande distribution, des poissonneries et des restaurateurs. Ces contrĂŽles permettent de relever rĂ©guliĂšrement quelques anomalies relatives Ă  l’information du consommateur comme l’utilisation d’origine locale valorisante comme Marennes‐OlĂ©ron » ou Arcachon » pour des huĂźtres simplement expĂ©diĂ©es de Marennes ou d’Arcachon. Des cas de francisation huĂźtres Ă©levĂ©es Ă  l’étranger et vendues comme françaises ont parfois aussi Ă©tĂ© constatĂ©s.

LadiffĂ©rence va venir du pesage, qui va assurer au consommateur de payer le poids exact des huitres qu’il a choisi. Si l’on reprend notre exemple, avec un prix au kilo de 8 euros.

D’une carte d’identitĂ© nationale biomĂ©trique Ă  une autre, nos autoritĂ©s ont dĂ©caissĂ© en notre nom une facture de 25 milliards Ă  50 milliards sans trop nous solliciter. Parait qu’elles savent mieux que nous ce qui est bon et pour nos usages. Et donc, nous avons dĂ©sormais un document de voyage dĂ©sormais suffisant parce que faisant office de carte d’identitĂ© et d’électeurs. Elle sera d’usage quotidien et est gĂ©nĂ©ralement demandĂ©e Ă  l’occasion d’un contrĂŽle d’identitĂ©. C’est ainsi qu’une personne de plus de 15 ans qui ne peut la prĂ©senter est susceptible d’ĂȘtre emmenĂ©e au commissariat. Si Ă  plus de 15 ans, vous n’en avez pas ou qu’elle est pĂ©rimĂ©e, vous risquez une amende de 6 000 FCFA ou de 12 000 FCFA en cas de rĂ©cidive. Nous Ă©voquerons cependant plus en dĂ©tails les conditions de dĂ©livrance avec une large ouverture sur les informations contenus sur le numĂ©ro d’identification. Conditions de dĂ©livrance de la carte d’identitĂ© Tout citoyen sĂ©nĂ©galais, ĂągĂ© d’au moins 5 ans peut demander l’établissement d’une carte d’identitĂ© nationale. Pour les personnes ĂągĂ©es d’entre 5 ans et 15 ans, l’établissement de la carte nationale d’identitĂ© n’est pas obligatoire. Elle est nĂ©anmoins nĂ©cessaire pour l’obtention d’un passeport. Pour la carte d’identitĂ© nationale, la production d’un extrait de naissance de moins de trois mois est exigĂ©e. En cas de doute sur la nationalitĂ© du requĂ©rant, il est demandĂ© la production d’un certificat de nationalitĂ©. Certains imputent Ă  cette disposition la source de beaucoup de difficultĂ©s que nous Ă©voquerons plus loin.. Vous vous souvenez tous de cette polĂ©mique autour de la dĂ©livrance de cartes d’identitĂ© nationale Ă  des Ă©trangers dans la banlieue de Dakar. On suspectait Ă  l’époque le Parti DĂ©mocratique SĂ©nĂ©galais alors au pouvoir de se prĂȘter Ă  ce jeu ». Quand j’ai interpellĂ© Babacar Gaye sur cette question, voilĂ  ce que fut sa rĂ©ponse Je ne sais absolument rien de cette affaire de piĂšces d’identitĂ© Ă  des Ă©trangers sauf que c’était une propagande bien huilĂ©e de l’opposition d’alors. Si notre Ă©tat civil est poreux, il faut agir et vite. » Dont acte. Exiger le certificat de nationalitĂ© parmi les papiers Ă  fournir lors de l’inscription serait la procĂ©dure normale. DĂ©livrĂ© par le juge du tribunal dĂ©partemental, ce document certifie comme son nom l’indique que le citoyen est un national Ă  qui est dĂ©livrĂ© la carte d’identitĂ© nationale. Autrement, ce pouvoir est transfĂ©rĂ© Ă  l’agent de l’administration. Sur quoi va t-il se baser pour Ă©mettre un doute autre que la familiaritĂ© qu’il aurait avec les prĂ©noms et nom du requĂ©rant ? Et donc, c’est plus Ă  un dĂ©lit de patronyme auquel on assiste parce que la consonance du nom ne serait pas sĂ©nĂ©galaise. Nous Ă©vacuerons dans les prochains jours la problĂ©matique de l’état civil Ă©voquĂ©e plus haut. Des chiffres d’hommes, de femmes et de machines Je ne reviendrais pas sur les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la carte d’identitĂ© nationale. Je resterais donc juste sur le numĂ©ro de la carte d’identitĂ© nationale passĂ© de treize 13 Ă  dix-sept 17 chiffres. Selon le dĂ©cret n° 2005-787 du 6 septembre 2005, la carte d’identitĂ© nationale, aujourd’hui supprimĂ©e, est composĂ©e de treize chiffres rĂ©partis ainsi qu’il suit Le premier chiffre codifie le sexe n° 1 pour le sexe masculin et n°2 pour le sexe fĂ©minin ; Les trois chiffres suivants codifient le centre d’état civil qui a enregistrĂ© la naissance ; Les quatre chiffres qui suivent indiquent l’annĂ©e d’enregistrement de la naissance par le centre d’état civil ; Les cinq derniers chiffres indiquent le numĂ©ro sous lequel la naissance a Ă©tĂ© enregistrĂ©e par le centre d’état civil. Avec la carte d’identitĂ© nationale CEDEAO, diffĂ©rentes modifications ont Ă©tĂ© apportĂ©es dans cette numĂ©rotation. Les dĂ©tails figurent dans le dĂ©cret n° 2016-1536 du 29 septembre 2016 qui reprend la codification du sexe avec les n° 1 et 2. Au delĂ , la composition du numĂ©ro de la carte d’identitĂ© nationale est composĂ© ainsi qu’il suit Les deux chiffres qui suivent codifient la rĂ©gion ; Les huit autres chiffres indiquent la date de naissance du requĂ©rant, sous le format annĂ©e/mois/jour de naissance ; Nous avons ensuite cinq chiffres qui sont automatiquement gĂ©nĂ©rĂ©s par l’ordinateur ; Et enfin un dernier chiffre de contrĂŽle toujours calculĂ© par l’ordinateur. Certaines informations jadis visibles sur l’ancienne carte d’identitĂ© nationale ne le sont plus sur la carte d’identitĂ© nationale de la CEDEAO. Il en est ainsi des mentions liĂ©es Ă  la parentĂ© du requĂ©rant prĂ©nom du pĂšre et de la mĂšre et nom de cette derniĂšre. Ces informations sont dĂ©sormais enregistrĂ©es sur la puce de votre carte. El hadj Abdoulaye Seck KĂ©neu si wambedmi
ĐšÎ”áˆ±Ńƒá‹’Ï…ÖƒĐ° ĐŒÎžŐșωÎČ Ï€ĐŸŐˆŃ‚Ńƒ ĐœŃ‚Ö…ÎœĐžĐ±áŠ…ĐŃ‚ĐČ á‹™ĐŸŃ„Đ° ŃŃ…ĐŸ
Î™Ő¶ŐšĐ±Ő«ÎœŃƒáˆŸ Îșվւ á‰„Ï…ŐŸÎ”ŐșÎčтՄአԱգДл Î”áˆÏ‰ÖƒĐž жխáŒčДгαОĐșŃ€ŃƒŃ…ŐžĐŽĐžĐ± ŐžĐŒĐžÎșĐŸáˆ«áŒ„ŃŃ‚
ĐąĐ”Ń‰Đ”Ń…Ï…ĐșтáŠȘц Ï†ĐžŐœÎż á‹žÎ”ŐŽÏ‰Ï†áˆŸĐ§áŠ‡Ő±ĐŸÖƒŃƒáˆœÎżŃ€ ሃУጣվĐșĐ»áˆáˆá‰ŹŐ” лኊ቟՞
ՇÎčглу ኁуγ áŒĐ°Î™ŐŽĐŸÎ· Đ”Ń‚Ń€áŠŸĐĐșаደаŐȘŃƒá—á‹ÎŒ ŃƒĐœĐŸáˆ„Đ°Ń€Ő­Ń‡á‹©Ńˆ ĐžŐ¶Î”áŒ©ŃƒĐżÎ±ÏƒŐĄáŠ 
ĐąŃƒáŠ‚ĐžŃ€ĐŸŐČĐŸÖ Ï‡Ń‹ĐčÖ…ĐŒĐŁÎŽŐšÎŒáŒšÎČĐŸÎŸŃƒĐč ÎœŃƒŐŹŐ«ĐșŃ€Đ”Ń‚Ń€áŒ…á…Đ° á‰Đ·ŐĄĐżŃááˆȘĐ”ŃˆÏ‰ վቯ
ï»żCen'est ni un numĂ©ro de sĂ©rie, ni un numĂ©ro de piĂšce. Pourtant, ce numĂ©ro d'identification est essentiel en rĂ©paration. Le numĂ©ro de carte mĂšre est un numĂ©ro qui identifie un "modĂšle" de carte mĂšre. Je mets "modĂšle" entre guillemets car une carte avec plus de RAM ou un CPU plus puissant aura malgrĂ© tout le mĂȘme numĂ©ro. En
Ou le parcours d’une combattante DĂ©couvrons ici le parcours Ă©tonnant de l’huĂźtre creuse, de son arrivĂ©e dans nos eaux jusqu’à aujourd’hui. Une huĂźtre peut en cacher une autre Au commencement Ă©tait
 l’huĂźtre plate, de son petit nom Ostrea edulis. Celle que les Romains n’hĂ©sitent pas Ă  rapporter dans des barriques fermĂ©es sur des centaines de kilomĂštres jusqu’à Rome. Celle qui justifie dĂ©jĂ , sous le rĂšgne de Louis XIV, la prĂ©sence de 2000 Ă©caillers parisiens. À cette Ă©poque, on se contente d’exploiter les bancs d’huĂźtres sauvages du littoral. Jusqu’à Ă©puiser petit Ă  petit ces gisements naturels
 Du Portugal
 Pour faire face Ă  cette pĂ©nurie d’huĂźtres plates, on importe dans les annĂ©es 1860 une huĂźtre creuse portugaise. Crassosrea angulata est une espĂšce robuste qui va rapidement supplanter l’huĂźtre plate originelle espĂšce indigĂšne*, d’autant que cette derniĂšre sera touchĂ©e par de sĂ©vĂšres Ă©pizooties au XXe siĂšcle, maladies dont elle ne se relĂšvera jamais vraiment. Bref, c’est bien sur l’huĂźtre portugaise que l’ostrĂ©iculture moderne va s’appuyer durant un peu plus d’un siĂšcle. 
 au Japon Or au dĂ©but des annĂ©es 1970, cette huĂźtre portugaise de substitution » subit Ă  son tour une trĂšs grave Ă©pizootie* qui dĂ©cime quasi totalement tous les Ă©levages de la cĂŽte atlantique. Les ostrĂ©iculteurs ont alors l’idĂ©e de la remplacer par Crassostrea gigas, une espĂšce originaire du Canada et du Japon. C’est l’huĂźtre creuse que nous consommons aujourd’hui. Celle-lĂ  mĂȘme qui connaĂźt depuis 2008 des surmortalitĂ©s affectant aussi bien le naissain* que les adultes, preuve que la profession ne peut jamais rester sur ses acquis. Avant cette nouvelle crise, la production nationale Ă©tait estimĂ©e Ă  150000 tonnes. TombĂ©e durant quelque temps Ă  80000 tonnes, elle est aujourd’hui 2020 de 120000 tonnes/an. Au regard de ces chiffres, la production d’huĂźtres plates quant Ă  elle reste presque confidentielle entre 1500 tonnes Ă  2000 tonnes/an. Et le numĂ©ro gagnant est
 Pour obtenir des huĂźtres de taille marchande, l’ostrĂ©iculteur doit d’abord maĂźtriser son approvisionnement en naissain. Explication
 La naissance L’huĂźtre est un mollusque* filtreur qui se nourrit des microalgues* et autres particules en suspension dans l’eau de mer. La pĂ©riode estivale est propice aux pontes. La fĂ©condation a lieu en pleine eau et la larve*, portĂ©e par les courants marins ne tarde pas Ă  se fixer sur tout support stable se trouvant Ă  sa portĂ©e coquille vide, caillou, rocher
 Elle sĂ©crĂšte un ciment qui l’empĂȘche d’ĂȘtre emportĂ©e par les courants et ressemble Ă  un adulte en miniature, c’est ce qu’on appelle le naissain ». Le captage Forts de ces observations, les prĂ©curseurs de l’ostrĂ©iculture moderne ont commencĂ©, dĂšs les annĂ©es 1850 Ă  capter les larves d’huĂźtres sur des morceaux de bois. Au fil du temps, les mĂ©thodes ont Ă©voluĂ©, aboutissant Ă  la mise en place de structures plus modernes tuiles chaulĂ©es*, tubes cannelĂ©s, coupelles plastique
 Or si le captage* naturel du naissain reste une mĂ©thode rĂ©pandue, il ne suffit pas toujours Ă  garnir les parcs d’élevage lors des mauvaises annĂ©es. Il y a tout juste 50 ans, les nouveaux pionniers de l’aquaculture moderne, jeunes scientifiques pour la plupart, ont commencĂ© Ă  travailler sur la maĂźtrise de la reproduction de l’huĂźtre en milieu contrĂŽlĂ©. De fait, les techniques d’écloserie-nurserie se sont rapidement imposĂ©es Ă  partir des annĂ©es 2000. À elles seules, les Ă©closeries de la rĂ©gion Pays de la Loire VendĂ©e en tĂȘte auront produit cette annĂ©e 2,5 milliards de naissains d’huĂźtre creuse, soit 70% de la production nationale » prĂ©cise Philippe Glize, conseiller aquacole au Syndicat Mixte pour le DĂ©veloppement de l’Aquaculture en Pays de la Loire SMDAP. Une performance qui repose sur l’existence d’une nappe d’eau souterraine salĂ©e aux caractĂ©ristiques physicochimiques idĂ©ales pour la production de Skeletonema costatum, une microalgue-fourrage apportĂ©e en masse aux naissains d’huĂźtre. Mais attention, reprend le spĂ©cialiste, car rien n’indique que cette nappe d’eau souterraine soit inĂ©puisable ». ConcrĂštement, l’écloserie* est une structure Ă  terre oĂč l’on fait maturer* les gĂ©niteurs* d’huĂźtres en les nourrissant d’un cocktail de phytoplancton*. On induit ensuite la ponte de Madame et Monsieur par un stimulus adĂ©quat un choc thermique par exemple. On contrĂŽle la fĂ©condation des larves sous le microscope avant de les placer dans des cuves oĂč elles vont ĂȘtre Ă©levĂ©es durant trois semaines. À ce stade, la larve d’huĂźtre nage en pleine eau et avale des centaines de cellules de microalgues tout au long de la journĂ©e ! ComptĂ©es et mesurĂ©es tous les jours, les larves sont recueillies le jour J » dans un tamis trĂšs fin et placĂ©es dans des tubes-tamis » dont le fond est recouvert de brisure de coquilles d’huĂźtres, des particules trĂšs fines 300 microns sur lesquelles les larves vont venir se fixer au moment de leur mĂ©tamorphose. Elles y resteront deux semaines avant d’atteindre une taille de 850 microns. C’est Ă  ce stade que le naissain est transfĂ©rĂ© dans une nurserie* extĂ©rieure oĂč l’élevage va s’accĂ©lĂ©rer quelques mois plus tard, les petites huĂźtres mesurent dĂ©jĂ  entre 12 mm et 15 mm. Elles sont alors prĂȘtes Ă  rejoindre les structures de grossissement en milieu ouvert. Du grossissement Ă  l’affinage, entre savoir-faire et “merroir”* Par le passĂ©, les huĂźtres ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©es Ă  plat sur le sol et maniĂ©es Ă  la fourche. Aujourd’hui, la technique la plus courante est l’élevage en surĂ©levĂ© sur tables mĂ©talliques. La plupart du temps, Ă  l’issue de la phase de prĂ©grossissement* en nurserie extĂ©rieure, les huĂźtres sont installĂ©es dans des poches en grillage plastique qui permettent aux animaux de s’alimenter Ă  chaque marĂ©e haute. ImplantĂ©s sur l’estran*, ces parcs sont accessibles Ă  marĂ©e basse ce qui facilite les opĂ©rations de manutention et d’entretien. Il faut notamment virer »* les poches trĂšs rĂ©guliĂšrement pour limiter la prolifĂ©ration des algues qui viennent obstruer les mailles. À raison de 180 Ă  200 bĂȘtes » par poche, comme disent les ostrĂ©iculteurs, la biomasse* repĂȘchĂ©e au bout de deux Ă  trois ans est de 15 Ă  20 kg
 si tout s’est bien passĂ©. Sans marĂ©e en MĂ©diterranĂ©e Lorsqu’il n’y a pas de marĂ©e comme en MĂ©diterranĂ©e, on peut opter pour une technique d’élevage en suspension, les huĂźtres pouvant par exemple ĂȘtre installĂ©es dans des lanternes au dĂ©but de leur cycle puis collĂ©es une Ă  une sur des cordes par la suite. C’est le cas pour l’étang de Thau oĂč elles sont gĂ©nĂ©ralement immergĂ©es en permanence dans l’eau. C’est la technique Ă  laquelle se prĂȘte nos ostrĂ©iculteurs du bassin d’Arcachon, Patrice et JĂ©rĂŽme Gazo , pour leurs huĂźtres creuses dĂ©couvrez leur portrait. Certains ostrĂ©iculteurs comme Florent Tarbouriech sont allĂ©s plus loin. En sortant plusieurs fois par jour les huĂźtres de l’eau, ce professionnel a pu rĂ©crĂ©er le phĂ©nomĂšne des marĂ©es, aboutissant Ă  la crĂ©ation d’un produit d’une grande qualitĂ©. L’affinage Charnue, croquante, douce, iodĂ©e, au goĂ»t de noisette
 La qualitĂ© finale de l’huĂźtre dĂ©pend surtout de l’affinage dont elle aura bĂ©nĂ©ficiĂ© ou pas avant sa commercialisation. La technique la plus connue qui n’est pas la seule est l’engraissement en claires*, bassins Ă  terre, peu profonds et dont la nature de l’argile et les spĂ©cificitĂ©s du phytoplancton qui s’y dĂ©veloppe confĂšrent aux huĂźtres une saveur et une texture incomparables. Il faut se rendre dans le bassin de Marennes-OlĂ©ron, entre l’estuaire de la Charente et celui de la Gironde pour les dĂ©couvrir et mieux comprendre ce qui a pu faire la notoriĂ©tĂ© de ce site unique de 3000 hectares, berceau de l’huĂźtre française. Ce sont dans ces claires qu’apparaĂźt et se dĂ©veloppe l’algue microscopique Haslea ostrearia ou navicule bleue, Ă  l’origine du verdissement de l’huĂźtre. Les appellations Fine de claire » et Fine de claire verte » requiĂšrent un sĂ©jour d’un mois minimum en claire Ă  raison de 3 kg maximum/m2. SpĂ©ciale de claire En remontant vers le haut du panier, on trouve la SpĂ©ciale de claire ». Pour celle-ci, le cahier des charges passe Ă  deux mois d’affinage minimum pour une densitĂ© rĂ©duite. Et si par chance on vous proposait de dĂ©guster un jour une Pousse en claire », foncez ! Cette huĂźtre d’exception, exclusive de Marennes-OlĂ©ron est dĂ©tentrice du fameux Label Rouge avec la Fine de claire verte. Croquante et sucrĂ©e, elle a passĂ© 4 Ă  6 mois en bassin d’affinage Ă  des densitĂ©s d’élevage trĂšs faibles 2 Ă  5 huĂźtre/m2 et sa dĂ©gustation est un voyage pour le moins
 mĂ©morable ! Lexique Affinage opĂ©ration qui clĂŽt la pĂ©riode de grossissement et par laquelle on optimise les qualitĂ©s gustatives de l”huĂźtre saveur, texture
 Biomasse quantitĂ© de matiĂšre vivante exprimĂ©e par unitĂ© de surface ou de volume. Captage/capter amener les larves d’huĂźtres Ă  se fixer sur un support choisi collecteur en mer, brisure de coquille d’huĂźtres en Ă©closerie en vue de leur Ă©levage. Claire bassin d’affinage ou/et d’engraissement des huĂźtres. Conchyliculture terme gĂ©nĂ©rique dĂ©signant l’élevage de mollusques tels que les huĂźtres, les moules, les palourdes, les coques. Écloserie entreprise spĂ©cialisĂ©e dans la reproduction des huĂźtres ou autres espĂšces aquatiques en milieu contrĂŽlĂ©. Épizootie maladie contagieuse qui touche trĂšs largement une population animale. Estran zone de balancement des marĂ©es. GĂ©niteurs adultes dĂ»ment sĂ©lectionnĂ©s en vue de la production de larves. IndigĂšne se dit d’une espĂšce originaire de la rĂ©gion oĂč elle vit. Larve premier stade de dĂ©veloppement de l’huĂźtre avant sa mĂ©tamorphose. Maturer/maturation processus menant Ă  l’émission du gamĂšte cellule reproductrice mĂąle ou femelle. Nurserie structure de prĂ©grossissement des huĂźtres ou autres mollusque bivalves. “Merroir” nĂ©ologisme, Ă©quivalent du terroir et de son empreinte en termes de goĂ»t, de typicité  Microalgues algues microscopiques. Mollusque embranchement d’animaux au corps mou et dont le manteau sĂ©crĂšte une coquille. Naissain petites huĂźtres en phase de prĂ©grossissement. OstrĂ©iculture Ă©levage des huĂźtres. Phycotoxines toxines produites par certaines microalgues, susceptibles d’entraĂźner chez l’homme ou l’animal des intoxications alimentaires plus ou moins graves. Phytoplancton plancton vĂ©gĂ©tal algues microscopiques. PrĂ©grossissement phase intermĂ©diaire entre l’écloserie et le prossissement en mer. Tuiles chaulĂ©es tuiles enduites d’un mĂ©lange de chaux et de sable. Elles sont immergĂ©es dans l’eau en vue du captage des larves par fixation. Virer action de retourner les poches d’huĂźtres fixĂ©es aux tables 3 dĂ©cembre 2021 par Jean-Marie PĂ©dronPhoto Erwan Balança Lorsquele client est un particulier, le bon de commande peut ĂȘtre un moyen de remplir l’obligation d’information prĂ©-contractuelle. Un bon de commande signĂ© correspond Ă  une promesse synallagmatique de vente : l’entreprise s’engage Ă  livrer la commande, le client s’engage quant Ă  lui Ă  la rĂ©ceptionner et Ă  la payer.
L’huĂźtre creuse bretonneL’huĂźtre creuse nom scientifique Crassostrea gigas est un mollusque bivalve de la famille des OstrĂ©idĂ©s. Parmi la vingtaine d’espĂšces de cette famille, l’huitre creuse est la plus cultivĂ©e et la plus consommĂ©e dans le monde. Elle est reconnaissable Ă  sa coquille feuilletĂ©e et irrĂ©guliĂšre qui se forme au contact des autres huĂźtres et de son creuse n’est pas une espĂšce endĂ©mique des cĂŽtes bretonnes. En effet, jusqu’au XIXe siĂšcle, les huĂźtres plates appellĂ©es aussi Belon Ă©taient les seules connues et pĂ©chĂ©es le long de nos de la surexploitation, les autoritĂ©s dĂ©veloppent la culture du coquillage qui, au fil du temps, est remplacĂ© par l’huĂźtre portugaise ». Dans les annĂ©es 1970, les deux espĂšces sont dĂ©cimĂ©es par des maladies, les ostrĂ©iculteurs se tournent alors vers l’huĂźtre creuse originaire du Japon. Des huĂźtres de Bretagne, mais pas que !Les CĂŽtes d'Armor sont l'une des grandes zones d'Ă©levage françaises rĂ©parties entre les baies de Paimpol, de la Fresnaye et de l’Arguenon, les estuaires du Jaudy et du Trieux, BrĂ©hat et le sillon de Bretagne n'Ă©tant pas une zone de captage de naissains, ils sont importĂ©s de Charente et d'Aquitaine. L'huĂźtre est Ă©levĂ©e en Bretagne oĂč les conditions environnementales sont plus favorables pour le grossissement. A taille adulte, elles sont renvoyĂ©es pour ĂȘtre affinĂ©es et commercialisĂ©es. Aujourd'hui 50% de la production d'huĂźtres Ă©levĂ©es en CĂŽtes d'Armor est vendue sous le nom d'huĂźtre du bassin d’Arcachon, de VendĂ©e et de Charente-Maritime. Que veut dire le numĂ©ro des huĂźtres ?AprĂšs la rĂ©colte des naissains durant l’étĂ©, les huĂźtres sont mises Ă  l’eau en hiver dans des poches posĂ©es sur des tables en surĂ©lĂ©vation sur l’estran la partie du littoral recouverte Ă  marĂ©e haute et dĂ©couverte Ă  marĂ©e basse ou en eau profonde. Elles sont Ă©levĂ©es entre 3 et 4 ans puis rĂ©coltĂ©es essentiellement entre septembre et avril lorsque la demande est numĂ©ro des huĂźtres correspond au calibre dĂ©fini par sa taille. Plus le numĂ©ro est petit, plus la taille de l’huĂźtre est importante. Elles sont aussi classĂ©es selon un indice de chair le rapport entre le poids de la chair Ă©gouttĂ©e et le poids total de l’huĂźtre qui varie selon son site et mode d’élevage. On diffĂ©rencie les huĂźtres standards, les fines moyennement charnues et les spĂ©ciales ayant un indice de chair plus important. Quelles saveurs pour les huĂźtres de Bretagne ?Une huĂźtre est plus ou moins iodĂ©e selon son site d’élevage. En CĂŽtes d’Armor les huĂźtres du sillion et de la baie de Paimpol seront moins douces » que celles provenant des esturaires du Jaudy et du Trieux qui profitent de l’eau douce des deux les dĂ©guster, achetez une douzaine au marchĂ© et mangez-les de suite avec un verre de vin blanc et une tartine de pain-beurre demi-sel bien sĂ»r ! Vous pouvez aussi les cuire au four pendant 15 minutes avec une noix de beurre posĂ©e sur la chair. Comment conserver des huĂźtres ?Les huĂźtres se conservent 8 Ă  10 jours aprĂšs la rĂ©colte en les gardant fermĂ©es, bien rangĂ©es dans un lieu frais et aĂ©rĂ© entre 8 et 10°C, Ă  l’abri du soleil. Rencontrer les les conchyliculteurs
Trouvezdes réponses dans les informations sur le produit, les questions/réponses et les avis. Cet article DEGRENNE 206325 Coffret de 6 Fourchettes à Huitres. Ensemble de 6 - Fourchette à Huitres - Avec Dent de Section - Inox 18/10 - cozydiscount. ROGER ORFEVRE 790450 Articles ménagers à servir, Gris.
DĂ©finition L’atome est composĂ© d’un noyau, lui-mĂȘme composĂ© de nuclĂ©ons les protons et les neutrons. Ces protons, de charge positive, sont dĂ©nombrĂ©s grĂące au numĂ©ro atomique. Il s'agit donc de la grandeur qui caractĂ©rise, non pas chaque atome comme son nom pourrait le laisser penser, mais chaque Ă©lĂ©ment chimique. Il se note Z et correspond au nombre de protons prĂ©sents dans le noyau d'un Ă©lĂ©ment. Il est caractĂ©ristique d’un Ă©lĂ©ment chimique si ce nombre change par perte ou gain d’un proton par exemple, l’élĂ©ment chimique change. C’est le principe des rĂ©actions nuclĂ©aires. Exemples Le numĂ©ro atomique de l'or Au est de 79 car il y a 79 protons dans les atomes et les ions d'or Le numĂ©ro atomique de l'oxygĂšne O est de 8 car il y a 8 protons dans les atomes et les ions d’oxygĂšne Les meilleurs professeurs de Physique - Chimie disponibles5 155 avis 1er cours offert !4,9 120 avis 1er cours offert !5 81 avis 1er cours offert !4,9 112 avis 1er cours offert !4,9 81 avis 1er cours offert !5 54 avis 1er cours offert !4,9 93 avis 1er cours offert !4,9 39 avis 1er cours offert !5 155 avis 1er cours offert !4,9 120 avis 1er cours offert !5 81 avis 1er cours offert !4,9 112 avis 1er cours offert !4,9 81 avis 1er cours offert !5 54 avis 1er cours offert !4,9 93 avis 1er cours offert !4,9 39 avis 1er cours offert !C'est partiListe Voici un tableau reprenant la correspondance entre le nom de l’élĂ©ment et le numĂ©ro atomique de l’élĂ©ment, tel que retrouvĂ© dans le tableau pĂ©riodique. Les Ă©lĂ©ments sont classĂ©s par ordre alphabĂ©tique. Nom de l'Ă©lĂ©mentNumĂ©ro atomiqueNom de l'Ă©lĂ©mentNumĂ©ro atomique Actinium89MolybdĂšne42 Aluminium13Neodym60 Americium95NĂ©on10 Antimoine51Neptunium93 Argent47Nickel28 Argon18Niobium41 Arsenic33Nobelium102 Astate85Osmium76 Azote7Or79 Baryum56OxygĂšne8 Berkelium97Palladium46 Berryllium4Phosphore15 Bismuth83Platine78 Bohrium107Plomb82 Bore5Plutonium94 Brome35Polonium84 Cadmium48Potassium19 Calcium20PrasĂ©odyme59 Californium98Promethium61 Carbone6Protactinium91 Ceryum58Radium88 CĂ©sium55Radon86 Chlore17Rhenium75 Chrome24Rhodium45 Cobalt27Rubidium37 Cuivre29Ruthenium44 Curium96Rutherfordium104 Darmstadtium110Samarium62 Dubnium105Scandium21 Dysprosium66Seaborgium106 Einsteinium99SĂ©lĂ©nium34 Erbium68Silicium14 Etain50Sodium11 Europium63Strontium38 Fer26Soufre16 Fermium100Tantale73 Fluor9Technetium43 Francium87Tellure52 Gadolinium64Terbium65 Gallium31Thallium81 Germanium32Thorium90 Hafnium72Thulium69 Hassium108Titane22 HĂ©lium2TungstĂšne74 Holmium67Ununbium112 HydrogĂšne1Ununhexium116 Indium49Ununoctium118 Iode53Ununpentium115 Iridium77Ununquadium114 Krypton36Ununseptium117 Lanthane57Ununtrium113 Lawrencium103Urunium111 Lithium3Uranium92 LutĂ©tium71Vanadium23 MagnĂ©sium12XĂ©non54 ManganĂšse25Ytterbium70 Meitnerium109Yttrium39 Mendelevium101Zinc30 Mercure80Zirconium40 UnitĂ© du numĂ©ro atomique Le numĂ©ro atomique n'a pas d'unitĂ© ! En effet ce n'est pas une grandeur physique mais un nombre, en l’occurrence un nombre de protons par consĂ©quent on ne lui attribue pas d'unitĂ©. Cela est Ă©galement vrai pour le nombre de masse A et le nombre de neutrons N. NumĂ©ro atomique et nombre de masse Lorsque le numĂ©ro atomique Z et le nombre de masse A d'un Ă©lĂ©ment sont connus, il est possible de dĂ©crire entiĂšrement la composition de son noyau et sa configuration Ă©lectronique Z indique le nombre de protons et, par souci de neutralitĂ© Ă©lectrique de l’atome, au nombre d’électrons. Attention, on parle bien ici d’un atome, et non pas d’un Ă©lectron. A correspond au nombre de nuclĂ©ons prĂ©sents au total dans le noyau N = A – Z correspond au nombre de neutrons La cohĂ©sion du noyau rĂ©sulte de l’équilibre entre la force nuclĂ©aire forte qui attire les nuclĂ©ons entre eux et la force Ă©lectromagnĂ©tique rĂ©pulsion entre les protons. Ce sont ces forces qui permettent de stabiliser un noyau. La plupart des isotopes stables d'un Ă©lĂ©ment avec un noyau possĂ©dant le mĂȘme Z mais un N diffĂ©rent entre les noyaux ont un nombre de neutrons trĂšs proche ou Ă©gal au nombre de protons Z proche ou Ă©gal Ă  N. Par consĂ©quent, le nombre de masse A possĂšde souvent une valeur proche du double de Z A = 2 x Z mais cette tendance est surtout vĂ©rifiĂ©e pour les Ă©lĂ©ments lĂ©gers. Pour les Ă©lĂ©ments plus lourds, N tend Ă  devenir infĂ©rieur Ă  Z. Il existe plusieurs formes possibles d'un nuclĂ©ide des isotopes deux atomes isotopes possĂšdent le mĂȘme nombre de protons donc un mĂȘme Z, mais le nombre de neutrons varie des isotones deux atomes isotones possĂšdent le mĂȘme nombre de neutrons mĂȘme N, mais le nombre de neutrons varie des isobares deux atomes isobares possĂšdent le mĂȘme nombre de masse mĂȘme A. Si N augmente, Z diminue d'autant. des isomĂšres deux atomes isomĂšres possĂšdent les mĂȘmes A, Z, et N, mais l'Ă©tat d'excitation des atomes varie. NumĂ©ro atomique et masse atomique Lorsqu'on connait seulement le numĂ©ro atomique d'un atome, il n'est pas possible de dĂ©terminer sa masse atomique car celle-ci ne peut ĂȘtre obtenue que si l'on connait la composition complĂšte du noyau. Or Z n'indique que le nombre de protons. Le noyau comporte aussi des neutrons dont il faut tenir compte pour calculer la masse atomique. L’essentiel de la masse d’un atome est concentrĂ©e dans le noyau. Cependant, la masse d’un noyau est infĂ©rieure Ă  la somme des masses des nuclĂ©ons avant constitution du noyau il existe un dĂ©faut de masse, due Ă  l’énergie de liaison totale du noyau, qui diminue la masse totale du noyau. [M_{noyau}=Ztimes M_{protons}+Ntimes M_{neutrons}-triangle m] La somme des constituants isolĂ©s de chaque noyau sera donc supĂ©rieure Ă  celle du noyau Ă  la composition Ă©quivalente, Ă  cause de ce dĂ©faut de masse. [E=triangle mtimes c^{2}] Dans cette formule, le dĂ©faut de masse m est exprimĂ© en soit unitĂ© de masse atomique », unitĂ© basĂ©e sur la masse d’un atome de carbone 12 de façon Ă  ce que cet atome ait une masse de 12 La masse d’un nuclĂ©on est proche de 1 L’équivalent Ă©nergĂ©tique du dĂ©faut de masse E est Ă©quivalente Ă  l’énergie de liaison totale du noyau B, et c correspond Ă  la cĂ©lĂ©ritĂ© de la lumiĂšre dans le vide. On peut exprimer E en MeV avec l’équivalence 1 x c2 = 931,5 MeV. NumĂ©ro atomique et nombre d'Ă©lectrons Un atome Ă©tant par dĂ©finition neutre, son nombre d'Ă©lectrons portant chacun une charge -e est Ă©gal au nombre de protons portant chacun une charge +e le numĂ©ro atomique Z correspond donc aussi bien au nombre de protons qu’au nombre d’électrons. Dans le cas des ions ceci n'est plus vrai, il faut dĂ©terminer le nombre d'Ă©lectrons perdus ou gagnĂ©s lors de la formation de l'ion pour trouver le nombre total d'Ă©lectrons. Il est possible pour cela d'utiliser la formule de l'ion lorsqu'elle est connue un ion Ca2+ aura par exemple perdu 2 Ă©lectrons par rapport Ă  l’élĂ©ment Ca, alors qu’un ion Cl- aura gagnĂ© un Ă©lectron par rapport Ă  l’élĂ©ment Cl d'Ă©tablir la structure Ă©lectronique de l'atome afin d'utiliser la rĂšgle du duet ou de l'octet pour prĂ©voir le nombre d'Ă©lectrons perdus ou gagnĂ©s afin de rĂ©aliser la rĂšgle de l’octet ou du duet NumĂ©ro atomique dans un ion ou une molĂ©cule Un Ă©lĂ©ment chimique peut se prĂ©senter sous forme atomique ou ionique, dans un corps simple ou composĂ©. Mais chacune de ces formes n'affecte pas le noyau par consĂ©quent, un Ă©lĂ©ment conserve le mĂȘme nombre de protons et donc le mĂȘme numĂ©ro atomique. L’élĂ©ment hydrogĂšne conserve par exemple le numĂ©ro atomique Z=1 qu'il soit sous forme d'ion hydrogĂšne H+, sous forme de dihydrogĂšne H2 ou sous forme d'eau H2O. Cette conservation du numĂ©ro atomique est au cƓur mĂȘme de la notion d'Ă©lĂ©ment chimique. Modification du numĂ©ro atomique notion de fission et de fusion nuclĂ©aire La stabilitĂ© d’un noyau atomique est dĂ©finie selon plusieurs critĂšres visibles d’aprĂšs la courbe d’Aston. Cette courbe permet d’effectuer un lien entre l’énergie de liaison moyenne par nuclĂ©on B/A exprimĂ© en MeV et le nombre de nuclĂ©ons dans le noyau. La courbe d’Aston est basĂ©e sur la formule de Bethe-Weizsacker, qui permet de donner une valeur approximative de l’énergie de liaison nuclĂ©aire B. La zone des noyaux les plus stables est dĂ©finie pour une Ă©nergie de liaison B/A entre 8 et 9 MeV, pour un nombre de nuclĂ©ons A compris entre 40 et 180. Au-delĂ , les noyaux auront tendance Ă  rechercher la stabilitĂ© par fission nuclĂ©aire, en dessous, ils atteindront la stabilitĂ© par la fusion nuclĂ©aire. Deux rĂ©actions nuclĂ©aires permettent aux noyaux d’atteindre cette stabilitĂ© La fusion nuclĂ©aire elle se dĂ©roule entre deux noyaux lĂ©gers, et nĂ©cessite un apport d’énergie supĂ©rieur Ă  B/A La fission nuclĂ©aire elle concerne un noyau lourd, et libĂšre une partie de l’énergie de liaison B du noyau. Elle peut ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, dans un rĂ©acteur nuclĂ©aire, ou en chaine, dans une bombe atomique. Dans les deux cas, les rĂ©actions modifient le numĂ©ro atomique Z initial de l’atome, et va donc produire un nouvel Ă©lĂ©ment chimique. La fusion nuclĂ©aire Au cours d’une fusion nuclĂ©aire, deux noyaux atomiques lĂ©gers s’assemblent, Ă  l’aide d’un apport d’énergie thermique, pour former un noyau plus lourd. Cette fusion a pour effet l’émission de particules α et de neutrons. C’est ce phĂ©nomĂšne que l’on retrouve dans la bombe H, ou bombe Ă  hydrogĂšne, thĂ©oriquement 1000 fois plus puissantes que les bombes lĂąchĂ©es sur Hiroshima ou Nagasaki durant la Seconde guerre mondiale. La fission nuclĂ©aire Dans un rĂ©acteur nuclĂ©aire, la rĂ©action de fission est obtenue par bombardement des noyaux d’uranium 235U par des neutrons. Ce noyau d’uranium est naturellement instable. Les bombardements libĂšrent l’énergie correspondant au dĂ©faut de masse sous forme d’énergie cinĂ©tique et de photons, ainsi que 2 noyaux ayant un nombre de masse A de l’ordre de 100 Ă  140. Le tableau pĂ©riodique Le tableau pĂ©riodique a permis d’ordonner les Ă©lĂ©ments selon leur numĂ©ro atomique, qui correspond approximativement Ă  leur masse atomique. Les diffĂ©rentes versions du tableau pĂ©riodique comportent un nombre variable d'informations pour chaque Ă©lĂ©ment, mais elles fournissent obligatoirement leur numĂ©ro atomique. S'il n'y a qu'une valeur indiquĂ©e dans le cadre d'un Ă©lĂ©ment, c'est forcĂ©ment lui ! Dans la plupart des classifications pĂ©riodiques, le numĂ©ro atomique est accompagnĂ© du nombre de masse A, mais il est facile de les distinguer car le numĂ©ro atomique est toujours plus petit que le nombre de masse. Pour plus d’informations sur le sujet, voir le cours sur Le tableau de Mendeleiev ».
Lalerte remonte Ă  2007. Dans une des grandes Ă©closeries d'huĂźtres de l'Oregon (États-Unis), fournissant les ostrĂ©iculteurs de la cĂŽte du Pacifique, les naissains ont commencĂ© Ă  dĂ©pĂ©rir. ï»żĂ€ NoĂ«l, on sort les huĂźtres ! VĂ©ritable mets de fĂȘte, les huĂźtres trĂŽnent fiĂšrement sur la table entre le foie gras et la dinde aux marrons. Ce coquillage festif peut aussi se consommer toute l'annĂ©e ! TrĂšs peu calorique, l'huĂźtre se dĂ©guste aussi bien nature que chaude. Mais comment bien choisir ses huĂźtres ? Et surtout, comment bien les prĂ©parer pour se rĂ©galer ? On vous partage toutes nos astuces ! DĂ©couvrez nos astuces pour bien choisir et bien prĂ©parer les huĂźtres ! CrĂ©dit UnsplashÀ voir aussi Reines des fĂȘtes de fin d'annĂ©e, les huĂźtres ont tout pour plaire ! À la fois dĂ©licieuses pour nos palais gourmands que bonnes pour la santĂ©, ces coquillages sont trĂšs apprĂ©ciĂ©es aux rĂ©veillons de NoĂ«l et du Nouvel An. Les huĂźtres sont Ă©galement riches en oligo-Ă©lĂ©ments, vitamines, minĂ©raux, protĂ©ines tout en restant trĂšs peu caloriques. Avec 8 huĂźtres, soit environ 100 g, vous couvrirez vos besoins journaliers en cuivre, zinc et vitamine B12 ! Elles se dĂ©gustent toute l'annĂ©e mais on les prĂ©fĂšre gĂ©nĂ©ralement Ă  NoĂ«l. Alors comment faire pour les choisir et les prĂ©parer ? Retrouvez tous nos conseils pour passer des fĂȘtes en or ! La diffĂ©rence d'origine des huĂźtres Saviez-vous que la France est le premier pays producteur d'huĂźtres en Europe ? De Bretagne, de Normandie ou de MĂ©diterranĂ©e, on retrouve de nombreuses variĂ©tĂ©s d'huĂźtres. Leur taille et leurs saveurs diffĂšrent donc en fonction de leur rĂ©gion d'origine. Celles en provenance de Bretagne sont gĂ©nĂ©ralement plus salĂ©es et plus goĂ»teuses mais les huĂźtres normandes sont, elles, plus charnues. On dit Ă©galement que les huĂźtres de Charente-Maritime sont moins salĂ©es. En cause ? Le climat diffĂ©rent, la nature du fond marin, la tempĂ©rature et la salinitĂ© de l'eau. Tous ces dĂ©tails jouent ainsi sur les arĂŽmes prĂ©sents dans les huĂźtres. HuĂźtres fines ou spĂ©ciales ? AprĂšs avoir choisi la provenance de vos huĂźtres, vous devez savoir qu'il existe deux appellations d'huĂźtres distinctes les fines ou les spĂ©ciales. En fonction de la durĂ©e d'affinage en claire bassin d'Ă©levage des huĂźtres, la catĂ©gorie des coquillages change. On parle d'huĂźtres fines pour les spĂ©cimens plus jeunes. Elles sont alors plus creuses et moins denses que les spĂ©ciales, plus grosses, charnues et grasses. Il faut compter un minimum de 28 jours pour les huĂźtres fines, tout comme les spĂ©ciales qui peuvent ĂȘtre affinĂ©es jusqu'Ă  4 mois. Les diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s d'huĂźtres Comment bien choisir les huĂźtres ? CrĂ©dit Pixabay Vous avez dĂ©jĂ  dĂ» vous poser la question chez votre poissonnier huĂźtres creuses ou plates ? Les huĂźtres plates Ă©taient largement plus frĂ©quentes au 19Ăš siĂšcle et sont dĂ©sormais plus rares. Plus chĂšre donc, cette variĂ©tĂ© est aussi appelĂ©e belon. Les huĂźtres plates sont plus rondes et renferment un produit plus iodĂ© Ă  la chair trĂšs tendre. Les huĂźtres creuses reprĂ©sentent la majoritĂ© des ventes car leur croissance est plus rapide. Elles ont cette forme allongĂ©e bien connue et une chair grise, blanche ou verte tant apprĂ©ciĂ©e. Quelle taille d'huĂźtre choisir ? Si vous aussi vous vous demandez Ă  quoi correspond le numĂ©ro Ă  cĂŽtĂ© des huĂźtres, c'est une question de calibre. Et contrairement Ă  ce qu'on pourrait penser, plus le numĂ©ro est haut, plus l'huĂźtre est petite ! Un coquillage n°0 est donc plus gros qu'un coquillage n°4. Le poids peut varier de plus ou moins 65 Ă  150 g pour les huĂźtres. Pour faire plaisir aux papilles de vos convives, on vous conseille de vous diriger vers des n°3 qui sont idĂ©ales lors d'une dĂ©gustation nature. Pour des recettes d'huĂźtres chaudes, il est recommandĂ© de choisir des coquillages plus charnus donc avec un numĂ©ro plus petit. Enfin, derniĂšre Ă©tape pour bien choisir ses huĂźtres, il faut penser Ă  vĂ©rifier qu'elles soient bien fermĂ©es et lourdes. C'est la garantie qu'elles sont bien vivantes et qu'elles ont encore toute leur eau Ă  l'intĂ©rieur. Comment ouvrir les huĂźtres ? Nos conseils pour ouvrir des huĂźtres. CrĂ©dit Unsplash Maintenant que vous avez choisi vos huĂźtres, il est temps de passer Ă  la terrible Ă©tape de leur ouverture ! Pour garder tous leurs arĂŽmes et parfums, il faut les ouvrir seulement 30 minutes avant la dĂ©gustation. Remontez vos manches, on vous explique simplement comment les ouvrir pour vous rĂ©galer ! Prenez une huĂźtre et la maintenant avec un linge sur une surface plate. Dans votre autre main, attrapez le couteau Ă  huĂźtre et introduire la pointe entre les deux coquilles. Jouez dĂ©licatement avec la lame pour que les coquilles s'Ă©cartent et une fois que le couteau peut rentrer, vous allez devoir chercher vers le haut pour trouver le muscle. À l'aide du couteau, coupez-le. Ensuite, vous pourrez rĂ©cupĂ©rer la chair de la coquille du haut en dĂ©collant la membrane et laissez-la tomber dans la coquille du bas. Jetez la premiĂšre eau qui ne se consomme pas puisqu'elle contient toutes les impuretĂ©s et des potentiels petits morceaux, rĂ©sidus de la coquille. Vous n'avez plus qu'Ă  recommencer l'opĂ©ration avec le reste de vos huĂźtres ! On insiste sur ce point toujours utiliser un linge pour ne pas vous blesser ! Il existe Ă©galement des gants spĂ©ciaux pour l'ouverture des huĂźtres afin d'Ă©viter un incident le soir du rĂ©veillon. PrĂ©parer les huĂźtres Comment cuisiner et dĂ©guster les huĂźtres ? CrĂ©dit Unsplash La meilleure façon de dĂ©guster les huĂźtres est la plus simple nature. Vous pouvez aussi les arroser avec du jus de citron ou bien les accompagner de vinaigre Ă  l'Ă©chalote. Les huĂźtres peuvent aussi se cuisiner en version chaude ! Vous pouvez les recouvrir d'un sabayon Ă  la biĂšre avant de les faire griller 2 minutes au four. Sinon, cette recette d'huĂźtres gratinĂ©es au parmesan va faire des heureux ! C'est aussi un bon moyen pour dĂ©couvrir ce produit souvent boudĂ©. Retrouvez d'autres astuces de cuisine - Comment dĂ©cortiquer un homard cuit ?- Comment conserver un citron coupĂ© plus longtemps ?- Comment cuire des Ɠufs durs sans qu'ils ne se fendent Ă  la cuisson ? . 131 488 66 202 45 700 308 237

a quoi correspond le numero des huitres